17.5.12

Mythe (1) Un si lourd héritage. Angelica Vanessa Garnett's Truth

























1 Vanessa Bell, Angelica, 1930
2 Angelica with mother Vanessa Bell
3 Angelica with  aunt Virginia Woolf in 1932 © Lettice Ramsey, copyright Stephen Burch
4  Vanessa Bell, Angelica with her four daughters, 1959
5 Duncan Grant, Vanessa Bell while pregnant with Angelica, 1918




Angelica Vanessa Garnett artist and writer died age 93, 4 May 2012. Vanessa Bell and Duncan Grant's daughter, she was both blessed and burdened by her too heavy Bloomsbury group inheritance. 

   
Née le jour de Noël 1918, sa vie commence comme un conte de fées. Elle est au centre de toutes les attentions, suffoquée d'amour dans cette ferme de Charleston ou se jouent les amours, les conflits et les ambitions artistiques des membres de Bloomsbury. Le miroir est terni quand Angelica découvre que son père n'est pas Clive Bell, le mari de sa mère mais Duncan Grant, l'ancien amant de celui qu'elle a épousé.         
Dans Trompeuse gentillesse (Christian Bourgois, 1986)elle décrit ce pesant héritage.  








Further readings: 

Angelica Garnett, Les deux coeurs de Bloomsbury, Editions Le Promeneur, 2001. Angelica Garnett, The Eternal moment, Puckerbrush Press, 1998.
David Garnett, Lady into fox,  at Project Gutenberg, free online reading. 
Other books by Angelica Garnett, see here.










3 comments:

  1. J'ai accordé un très grand intérêt à lire cet article (entre autre), intérêt qui devrait se poursuivre par d'autres lectures (les accents de l'article).
    Merci, je ne connaissais rien d'elle, et comme les commentaires servent aussi à encourager à poursuivre...

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  2. Oh merci pour cet encouragement!
    J'ai parfois l'impression d'être dans un souterrain et de ne voir passer que des ombres sur le fond de la caverne.

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  3. Quelles découvertes époustouflantes! Je suis enchantée de cette page de votre blog, dont je compte profiter plus largement.-- Quand au fond du souterrain, ne vous inquiétez pas trop, nous y sommes tous et nous ne voyons passer que nos propres ombres la plupart du temps. En être conscient tout en y demeurant est notre seule planche de salut, à l'image du Sisyphe de Camus...

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